Les Idéaux

Les statues reflètent une beauté indestructible dans le temps non seulement par la perfection de leurs proportions, mais aussi par la noblesse d’âme représentée dans leurs traits.

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Statue d'un kouros

Statue votive d'un kouros, conservée jusqu'aux genoux. Le jeune homme se dresse sur sa jambe droite et met la jambe gauche légèrement en avant. Les volumes du corps sont rendus de manière plastique, tandis que les bras se déplacent vers l'avant et sont reliés aux cuisses par de petits supports.

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Statue d'un éphèbe «L'Enfant de Kritias»

La statue est connue sous le nom d' «Enfant de Kritias» du nom du sculpteur auquel elle est attribuée. Elle représente un jeune garçon nu avec une expression sérieuse et des cheveux enroulés autour d'une couronne. Son corps repose sur la jambe gauche, tandis que l'autre reste détendu, dans la posture caractéristique du soi-disant «style sévère», le style qui s'est développé après les guerres médiques de 480 av. J.-C.

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Statue d’un jeune athlète, le «diadumène»

Le jeune athlète se tient nu et en face, avec le poids sur la jambe droite, tout en portant la jambe gauche derrière et sur les côtés. Sur sa tête, il porte un ruban large, qu’il attachait avec ses mains, qui ne sont pas conservées.

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«L'Éphèbe d'Anticythère»

Le jeune homme nu repose fermement sur la jambe gauche, tandis que la jambe droite, plus à l’aise, se déplace vers l'arrière et latéralement, ainsi créant un fort mouvement de contraste corporel. On imagine qu'il tenait un objet rond dans sa main droite et un objet allongé dans sa main gauche.

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Statue en bronze d'un athlète. «L'Éphèbe de Marathon»

Il s'agit probablement d'un adolescent vainqueur d'une épreuve sportive, comme le suggère le bandeau sur la tête, décoré par un élément en forme de feuille au centre. Son regard est fixé sur un objet qu'il tenait dans sa main gauche vers le spectateur, alors qu'on ne sait pas non plus ce qu'il tenait dans sa main droite.

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