Trêve Sacrée
(ἔχω (avoir) + χείρ (main)= tenir la main)
Au 8e siècle avant J.-C., le roi Iphitos d'Élis, le sage législateur Lycurgue de Sparte et le tyran Clisthène de Pise conclurent la première Trêve Sacrée, qui fit de la région de l'ancienne Olympie une zone inviolable et neutre. La mise en œuvre de l'accord de paix durait suffisamment longtemps avant et après les Jeux pour que les déplacements des athlètes et du public se fassent en toute sécurité.
Avant les jeux, les athlètes juraient de concourir selon les règles, avec loyauté et honneur, de chercher la victoire tout en respectant les règles du franc-jeu.

Εὖ ἀγωνίζεσθαι (Franc-jeu)

Avant les jeux, les athlètes juraient de concourir selon les règles, avec loyauté et honneur, de chercher la victoire tout en respectant les règles du franc-jeu.

Beau et bon

Pour les Grecs de l'Antiquité, l'exercice du corps et la culture de la morale étaient des concepts interdépendants et faisaient partie intégrale de leur éducation.

C'est avec ces idéaux que les athlètes et les spectateurs de tous les coins du monde grec se retrouvaient sur le site sacré d'Olympie, dans une atmosphère d'unité et d'égalité, pour la plus grande célébration athlétique en l'honneur des dieux et pour le plaisir des hommes.

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